Big Data/Calcul scientifique
ACRI-ST, membre du groupe ACRI, est une société de Recherche & Développement, spécialisée dans les domaines des Mathématiques Appliquées, de la Géophysique, de la Mécanique et de la Modélisation numérique. ACRI-ST produit des études, expertises, formations, des services d’informations environnementales.
ACRI-ST fournit une forte R&D dans le contrôle des satellites surveillant les océans ou les côtes, ainsi que de la modélisation et de l’assimilation de données dans les modèles. Le groupe ACRI-ST est spécialisé dans les missions d’observation de la Terre et simulations, la surveillance environnementale et la recherche ITC et divers services liées aux données pour des missions au segment sol et en ingénierie environnementale.
Le domaine d’activité d’Actimar est l’océanographie opérationnelle au service de la mer. L’océanographie opérationnelle a pour but de mesurer et prévoir les paramètres d’environnement maritime par la mise en oeuvre de systèmes opérationnels d’observation et de prévision adaptés aux besoins spécifiques des usagers de la mer.
Les activités d’Actimar sont liées à la connaissance de l’environnement marin :
1- Analyse et modélisation numérique des états de mer, du vent, de la marée et des courants marins
2- Réalisation et mise en oeuvre de systèmes opérationnels d’analyse et de prévision de l’environnement océanique
3- Conception et mise en œuvre d’outils de télédétection haute résolution pour la gestion des zones côtières et la cartographie des fonds marins
Le président d’Actimar est Vincent Mariette et son chiffre d’affaires est 3,3 millions d’euros.
Actimar est constituée d’une équipe d’océanographes, de docteurs en sciences et d’ingénieurs, à forte compétence en physique des phénomènes océaniques, en analyse de données, en modélisation, en télédétection et en systèmes opérationnels. Au niveau effectif, ils sont environ 25.
Airbus est un constructeur aéronautique situé à Blagnac, dans la banlieue de Toulouse en France. Division détenue à 100 % par le groupe industriel Airbus, l’entreprise fabrique plus de la moitié des avions de lignes produits dans le monde, et est le principal concurrent de Boeing. Plusieurs filiales existent en Europe.
ATMOSPHERE a été créée en 2008 par Jean-Marc Gaubert qui en est le dirigeant. ATMOSPHERE étudie, développe et opère de nouveaux services dédiés aux opérations aériennes, basés sur les dernières avancées technologiques du spatial et des télécommunications. L’expertise d’ATMOSPHERE couvre les technologies du spatial et des télécommunications, les réseaux et la météorologie.
ATMOSPHERE développe des produits et des services météorologiques dédiés aux pilotes.
L’équipe d’ATMOSPHERE est actuellement composée de 10 ingénieurs. ATMOSPHERE a une filiale en Allemagne.
Créé à l’École Nationale des Ponts et Chaussées en 2003, le CEREA est membre de l’Institut Pierre-Simon Laplace depuis 2015. Ses activités de recherche sont centrées sur la pollution de l’air et la micrométéorologie des basses couches de l’atmosphère.
Le directeur du CEREA est Christian Seigneur.
Le CERFACS (Centre Européen de Recherche et de Formation Avancée en Calcul Scientifique) est un centre de recherche fondamentale et appliquée, spécialisé dans la modélisation et la simulation numérique.
Les équipes du CERFACS réunissent des physiciens, des mathématiciens appliqués, des analystes numériques, des informaticiens qui conçoivent et développent des méthodes et solutions logicielles innovantes répondant aux besoins des secteurs de l’aéronautique, du spatial, du climat, de l’énergie et de l’environnement.
La recherche au CERFACS se structure autour de 9 axes transverses, allant du calcul haute performance et d’algorithmes avancés (méthodes numériques, couplage de codes, assimilation de données, traitement des incertitudes) à des thématiques porteuses (climat, environnement, combustion, aéronautique). La directrice du CERFACS depuis septembre 2013 est Catherine Lambert.
Le CESBIO est le Centre d’Etude de la BIOsphère. Il s’agit pour l’équipe du CESBIO de :
1- contribuer au progrès des connaissances sur le fonctionnement des surfaces continentales et leurs interactions avec le climat et l’Homme, en s’appuyant largement sur des données satellitaires.
2- Développer des modèles explicatifs, mais aussi prévisionnels de l‘évolution de ces surfaces et de leurs propriétés sous les pressions qu’ils subissent, à différentes échelles spatiales et temporelles.
Le CESBIO possède deux équipes : la première travaille sur la modélisation du fonctionnement et télédétection des surfaces continentales, la seconde sur des « Systèmes d’observation ». Le directeur du CESBIO est Laurent Polidori.
CGG est à la pointe des géosciences. Ils proposent une offre unique de technologies, de services et d’équipements conçus pour acquérir des données et des images extrêmement précises du sous-sol. Ils fournissent également des logiciels et des services de haut de gamme qui analysent ces données et ouvrent la voie à une connaissance approfondie du sous-sol en vue de l’exploration, de la production et de l’optimisation de réservoirs de pétrole et de gaz.
Ils ont plusieurs antennes en France (Nantes, Toulouse, Brest …) et dans le monde.
CLS, filiale du CNES (54%), de l’IFREMER (14%) et de la société d’investissement ARDIAN (32%) est opérateur de systèmes satellitaires et fournisseur de produits et services à valeur ajoutée depuis 1986.
CLS oeuvre quotidiennement en faveur de la surveillance environnementale, de la gestion durable des ressources marines, de la sécurité maritime, l’entreprise fournit également des services télématiques. Ses produits et services constituent une aide opérationnelle directe à tous les acteurs concernés, qu’ils appartiennent à la sphère publique ou privée.
Opérant plus de 80 instruments embarqués à bord de près de 40 satellites, CLS met son savoir faire et son expertise au service de ses clients: gouvernements, organisations scientifiques, organisations non gouvernementales, institutionnels, grands groupes industriels (fret maritime, pétrole et gaz, etc.).
Entreprise internationale, CLS compte 500 collaborateurs dans le monde dont 300 en France (Toulouse et Brest). CLS réalise un chiffre d’affaires de 96 millions d’euros sous la direction de Christophe Vassal.
Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), le CNES propose aux pouvoirs publics la politique spatiale de la France et la met en oeuvre dans 5 grands domaines stratégiques : Ariane, les Sciences, l’Observation, les Télécommunications et la Défense.
Le CNES entretient des relations très étroites avec l’industrie spatiale, ses partenaires européens dans le cadre de l’Agence spatiale européenne et de la Commission européenne, et à l’international.
Le CNES ne fait pas vraiment de la recherche. C’est un travail beaucoup plus ingénieur, axé sur la technique. Ils sont la pour le développement des produits aux utilisateurs, l’établissement des cahiers des charges et des spécifications des instruments.
2 aspects météo sont traités au CNES : la prévision et le spatial dédié à la météo. Le premier est un poste de prévisionniste météo surtout pour les aspects ballon comme à la base de Concordia. Cela consiste à prévoir la trajectoire des ballons (pendant des expériences), effectuer des prévisions météorologiques ainsi que travailler sur l’amélioration de la prévision de trajectoires. Le second aspect est dédié au travail sur les satellites météo comme IASI.
Le CNES est composé de 2450 salariés, en majorité ingénieur sans thèses pour un budget d’environ 2 milliards d’euros. Le CNES est également présent à Toulouse et Kourou.